Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Cars 3.
Achats.
Flash McQueen : Bon, allons-y. Concentration. Rapide, je suis rapide. Un vainqueur, quarante-deux perdants. Je n’en fais qu’une bouchée à mon petit-déjeuner. Je disais vraiment ça ?
Martin : Ah bah oui, oui, oui, tu disais ça.
Tex : Flash McQueen !
Flash McQueen : Eh Monsieur Tex ! Comment se porte mon principal concurrent ?
Tex : Tu sais que tu n’as qu’un mot à dire pour que je vire Cal de l’équipe Dinoco et t’engager à sa place !
Cal Weathers : Vous savez que je vous entends. Je suis là hein.
Flash McQueen : Eh Jackson Storm, c’est ça ? Bravo, magnifique course !
Jackson Storm : Merci Monsieur McQueen. Vous n’imaginez pas à quel point je suis content de pouvoir enfin vous éliminer.
Flash McQueen : Ah merci. Euh quoi ? Attendez, excusez-moi j’ai pas bien compris. M’éliminez ?
Jackson Storm : Vous m’avez parfaitement compris.
Cal Weathers : Un jour, j’ai demandé à mon oncle comment on savait qu’il était temps de raccrocher les pneus. Tu sais ce qu’il a dit ? Les jeunes te le feront savoir. On a vécu de sacrés moments ensemble. C’est ce qui me manquera le plus je crois.
Cruz Ramirez : Mais enfin, arrête de douter de tout ! Ce n’est pas comme si tu n’avais pas le choix. Tu as le choix contrairement à Doc. Tu as le choix entre réagir ou rester dans ce garage comme tu le fais depuis des mois. D’ailleurs, puisqu’on en parle, j’adore la façon dont tu l’a décoré. La lumière blâfatre comme dans un vieux film d’épouvante, la clim qui sent le sapin et surtout ne va pas croire tous ceux qui disent que tu devrais te refaire une beauté parce que wahou, je te trouve plus séduisant que jamais. Et je dois dire qu’au bout de quelques minutes, même ton odeur on finit par s’y habituer.
Flash McQueen : C’est moi qui déciderais quand je voudrais arrêter.
Dusty : On te doit beaucoup de beaux souvenirs en tout cas. Des souvenirs qu’on oubliera pas.
Cruz Ramirez : Je suis trop contente de vous entraîner. Quand j’étais petite, je vous regardais à la télé.
Flash McQueen : Ah… quand vous étiez petite.
Cruz Ramirez : Tous ces jeunes sont formidables mais je préfère les vrais défis.
Flash McQueen : Je ne suis pas si vieux…
Cruz Ramirez : D’ailleurs, entre nous, je vous appelle mon « projet senior ».
Sterling : Je vois ça comme votre héritage.
Flash McQueen : Oui mais ça on y pense quand on est à la retraite. Qu’est-ce que vous essayez de me dire Monsieur ?
Sterling : Je suis désolé, vous ne courrez pas cette saison.
Flash McQueen : Je ne connais que la course comme récompense, le reste je m’en fiche. Ce n’est pas l’argent qui m’intéresse. C’est de continuer à rouler à plus de 300 km/h à dix centimètres des autres, de pousser mon moteur et de l’entendre hurler dans les tours. C’est ça ma récompense Monsieur Sterling !
Cruz Ramirez : Et oui, vous avez encore besoin de moi ! A votre âge, il faut vous ménager.
Flash McQueen : Je suis le roi du déra-plage !
Luigi : Oh McQueen !
Flash McQueen : Merci.
Flash McQueen : C’est ma dernière chance Cruz, la dernière. C’est fini, y en aura pas d’autres. Si je suis battu, aucun sponsor ne voudra m’engager. Si vous étiez une voiture de course, vous sauriez de quoi je parle mais vous en avez aucune idée parce que vous n’êtes pas une voiture de course !
Cruz Ramirez : Demandez-moi si mon rêve était de devenir un jour entraîneur. Demandez-moi si je me levais aux aurores pour rouler dans le noir sur un circuit tous les matins avant d’aller à l’école. Demandez-moi si j’économisais dollar après dollar pour assister aux courses quand elles avaient lieu près de chez nous. Demandez-moi si je rêvais d’être entraîneur quand j’étais petite. Est-ce que vous croyez que c’était le rêve de ma vie ?
Flash McQueen : Non…
Cruz Ramirez : Non ! Toute mon enfance j’ai rêvé de devenir pilote parce que je rêvais d’être comme vous. Je vous regardais courir à la télévision, vous voliez comme un oiseau. Vous n’aviez peur de rien, de rien. « Pas de rêve de grandeur, Cruz », on me répétait tout le temps ça à la maison. Pas de rêve de grandeur pour ne pas être déçu. Je sais qu’ils disaient ça pour mon bien. Mais j’adorais la vitesse, j’étais douée à la course. Et j’ai voulu leur prouver qu’ils avaient tort.
Cruz Ramirez : Je peux vous poser une question ? Comment ça s’est passé pour vous quand vous avez courru votre première course ? Qu’est-ce qui vous a permis d’avoir confiance ?
Flash McQueen : Je sais pas, je crois que je n’ai jamais eu de doutes.
Cruz Ramirez : J’aurais voulu éprouver cette sensation.
Flash McQueen : Ca fait plaisir, Doc.
Cruz Ramirez : C’est votre ancien directeur technique.
Flash McQueen : Eh Cruz, ça vous dirait de voir le circuit du plus grand coureur de tous les temps ?
Louise : La vie est trop courte pour attendre qu’on vous invite.
Smokey : Je n’ai plus eu de ses nouvelles pendant cinquante ans. Et puis un beau jour, les lettres ont commencé à arriver. Et à chaque fois c’était pour me parler de toi. Oui, il adorait courir mais devenir ton coach… je n’ai jamais vu ce vieil ours aussi heureux qu’à cette époque. Les meilleurs moments de sa vie c’était pas à son passé de coureur qu’il était, c’était à toi.
Smokey : Doc avait décelé en toi quelque chose dont tu n’as même pas conscience. Est-ce que t’es prêt à aller le chercher ?
Flash McQueen : Je suis prêt.
Flash McQueen : A toi Cruz, à toi de saisir cette chance !
Cruz Ramirez : Quoi ?
Flash McQueen : J’ai commencé cette course, c’est toi qui va la finir.
Cruz Ramirez : Mais pourquoi vous faites ça ? Vous l’avez dit vous-même, c’est peut-être votre dernière chance !
Flash McQueen : C’est surtout ma dernière chance de donner sa première chance à une rookie. Et cette fois tu dois la saisir.
Flash McQueen : Elle a vraiment beaucoup de talents, hein Doc.
Sally : Il faut dire qu’elle a eu un excellent coach. Maintenant ce sera à toi de décider quand tu arrêteras de courir.
Flash McQueen : Alors, prête pour l’entraînement ?
Cruz Ramirez : Quelle question… Et toi t’es prêt à perdre ?
Flash McQueen : Oh oh, j’espère que tu as ton petit nuage.
Cruz Ramirez : Et toi ta petite cuvette.
Flash McQueen : J’ai ma petite cuvette et j’ai fait un petit somme.
Cruz Ramirez : Alors au boulot grand-père !