Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Toy Story.
Achats.
Woody [corde vocale] : Les mains en l’air !
Woody [corde vocale] : Oh ! Tu es mon adjoint préféré !
Woody [corde vocale] : Quelqu’un a empoisonné le point d’eau !
Woody : En avant les amis, la voie est libre !
Monsieur Patate : À partir de trois ans et demi, regardez ma boite ! À partir de trois ans et demi ! Je ne suis pas la baby-sitter de la princesse crachouille !
Monsieur Patate : Bayonne hey regarde, je suis Picasso !
Bayonne : Euh je pige pas.
Monsieur Patate : Mais c’est de l’art gros lard !
Woody : J’ai une mauvaise nouvelle.
Zig-Zag : Une mauvaise nouvelle ?
Woody : Chut ! Convoque-moi tout le monde dans la joie et la bonne humeur.
Zig-Zag : Compris.
Woody : La bonne humeur !
Zig-Zag : Ah ah ah ah !
Zig-Zag : Réunion au sommet les amis ! Un peu de ressort !
Rex : Aaaaaaaaaaaah…
Woody : Comment ça va Rex ?
Rex : …aaah ! Je t’ai fait peur ? Non sincèrement ?
Woody : Tu as presque failli me faire peur tu sais.
Rex : Oh j’m’entraîne. J’voudrais être horrifique mais j’y arrive pas, j’ai juste l’impression d’être soporifique.
La Bergère : Oh Woody, je voulais te remercier d’avoir sauvé mes moutons.
Woody : Oh ça, voyons c’était rien.
La Bergère : Je pourrais demander à quelqu’un de surveiller le troupeau à ma place ce soir.
Woody : Héhéhéhéhé oh ouais… oh j’veux dire…
La Bergère : Alors à ce soir… j’aimerais tant me trouver un mari honnête un jour…
Sergent : Un bon soldat n’abandonne pas un homme à terre !
Sergent : Andy est en train d’ouvrir le premier cadeau.
Monsieur Patate : Madame Patate ! Madame Patate ! Madame patate ! Ben quoi on peut rêver non ?
Sergent : Il ouvre le deuxième cadeau. Oui c’est une couverture !
Monsieur Patate : Qui a invité ce crétin ?
Buzz : Buzz l’Eclair à Star Command, est-ce que vous me recevez ?
Buzz : Journal de bord, Buzz l’Eclair. Année 4072, mon astronef a quitté la trajectoire du secteur 9. Je me suis écrasé sur une étrange planète. L’impact a mis fin à mon hyper-somnolence. Le sol semble pour le moins…instable. Impossible de savoir si l’air est respirable et il n’y a pour le moment aucun signe de vie intelligente en vue.
Woody : Coucou !
Buzz : Je suis Buzz l’Eclair, ranger de l’espace, protection universelle.
Buzz : Je dois réparer mes turbo fusées. Vous marchez encore à l’ordinaire ou vous avez découvert la crystofusion ?
Woody : Ben on fonctionne aux piles alcalines.
Bayonne : Alors hum d’où tu viens ? Singapour ? Hong Kong ?
Buzz : Non non, en fait je fais parti de la patrouille Gamma du secteur 4. Membre de l’unité d’élite de protection universelle des rangers de l’espace. Je défends la galaxie contre la menace d’invasion de l’infâme empereur Zurg, ennemi juré de l’alliance sidérale !
Monsieur Patate : Oh et bien moi je viens de chez Playschool.
Rex : Et j’viens de chez Mattel. Enfin pas vraiment de chez Mattel, j’viens d’une petite compagnie qui s’est faite dévorer par une OPA…
Woody : Comme s’il n’avait jamais vu un nouveau jouet.
La Bergère : Jamais ils n’ont vu un jouet comme lui. Il a plus de gadgets ultra-moderne qu’un couteau-suisse.
Monsieur Patate : Et toi, pourquoi t’as pas aussi un laser Woody ?
Woody : Ce n’est pas un laser ! C’n’est… C’n’est qu’une petite ampoule qui brille !
Bayonne : Qu’est-ce qu’il a ?
Monsieur Patate : Il a une envie de laser.
Woody : Ça suffit, taisez-vous. Bon nous sommes tous vraiment fascinés par le nouveau jouet d’Andy…
Buzz : Jouet ?
Woody : J-O-U-E-T, Jouet !
Buzz : Pardonne moi, mais je crois plutôt que tu veux dire « ranger de l’espace », j’me trompe ?
Woody : En fait ce que je voudrais dire, je ne peux pas le dire en présence de jouets pour le premier âge.
Woody : Mais ce n’est pas un vrai ranger ! Il ne combat pas les méchants, il ne sait pas tirer, ni voler.
Buzz : Hum, tu permets ?
Groupe : Oooooh !
Bayonne : On n’arrête pas le progrès. Impressionnant.
Woody : Quoi ? Quoi ? Mais c’est du plastique, il ne peut pas voler.
Buzz : C’est un alliage de termilium et de carbonate expansé, et si, je peux voler.
Woody : Non tu peux pas.
Buzz : Si, je peux.
Woody : Tu peux pas.
Buzz : Si !
Woody : Non non non !
Buzz : Je te dis que je pourrais voler dans cette chambre les yeux fermés !
Woody : D’accord monsieur le ranger de l’espace, prouve-le.
Buzz : Sur-le-champ mon ami. Arrière ! Vers l’infini et au-delà !
Buzz : Bande à souder unidirectionnelle.
Robot : Monsieur l’Eclair veut encore du ruban adhésif.
Buzz : Comment oses-tu ouvrir le casque d’un cosmonaute sur une planète inconnue ? Mes deux prunelles auraient pu être boutées hors de leurs orbites.
Woody : Tu crois que tu es le seul et l’unique Buzz l’Eclair ? Et moi qui pensais que tu jouais la comédie. Eh regardez tous ! C’est le vrai Buzz l’Eclair !
Buzz : Euh, tu te moques de moi ?
Woody : Non non non non non…un extraterrestre !
Buzz : Où ça ?
Woody : Ah ah ah ah !
Buzz : Quoi cet enfant joyeux ?
Buzz : Pour ton information, sache que même si tu as tenté d’en finir avec moi, la vengeance est un concept que l’on veut bannir de ma planète.
Woody : Oh, bonne nouvelle.
Buzz : Mais on est pas sur ma planète. N’est-ce pas ?
Woody : Non.
Buzz : Banzaï !
Buzz : À cause de toi, la sécurité de l’univers est menacée !
Woody : Quoi ? Mais qu’est-ce que tu racontes ?
Buzz : Là-haut, tapi aux confins de la galaxie, l’empereur Zurg a secrètement mis au point une arme capable d’annihiler une planète toute entière ! Et moi seul détiens l’information qui pourrait vous permettre à tous de survivre… Mais toi mon ami ! Tu es sur le point de me faire rater mon rendez-vous avec Star Command !
Woody : TU-N’ES-QU’UN-JOUEEEEET ! Tu n’es pas le vrai Buzz l’éclair ! Tu es un pantin articulé ! Tu n’es qu’un jouet en plastique !
Buzz : Quel curieux personnage, vraiment déprimant. Mouais, tu m’fais pitié. Salut !
Les aliens : Un visiteur ! Venu d’ailleurs ! Oooooooohh !
Buzz : Je suis Buzz l’Eclair, je viens en paix !
Buzz : Je dois détourner votre vaisseau sur le secteur 9. Qui est votre commandant ?
Les aliens : Le graaaapiiiiiin…
Un alien : Le grapin est notre maître.
Un autre alien : Il choisit ceux qui s’en vont et ceux qui restent.
Un alien : Le grappin m’a choisi. Adieu mes amis, je vous quitte pour un monde meilleur.
Sid : On va rentrer et on va s’marrer…
Sid : Personne n’a jamais tenté une transplantation cervicale et un triple pontage… Et c’est là que ça se complique.
Buzz : Je doute fort que ce jeune homme ai jamais obtenu son diplôme de chirurgien.
Buzz : Ne craint rien, mon laser va les exterminer.
Woody : Oh magnifique oui, magnifique. Comme ça s’ils attaquent, on les clignotera à mort.
Buzz : Alors ça baigne ? Je te félicite sheriff, une mauviette aurait parlé sous la torture !
Buzz : Fini ! Tout est fini ! Fini ! Bye bye ! Youhou ! Adios !
Woody : Mais qu’est-ce qui te prend voyons ?
Buzz : Un beau matin on défend toute la galaxie, et à cinq heures voilà qu’on se retrouve à siroter du Darjeeling avec Marie-Antoinette et sa petite sœur.
Woody : Je crois que tu as bu assez de thé pour aujourd’hui. Et si on sortait prendre l’air ?
Buzz : Mais tu comprends pas ? Tu vois pas mon chapeau ? Je suis la reine…d’Angleterre !
Woody : Buzz tu pourrais me donner un coup de main ?
Buzz : Non pour la première fois au contraire j’ai les idées en place. Tu avais raison, je ne suis pas un ranger de l’espace. En fait je ne suis qu’un jouet, un jouet minable, stupide et insignifiant.
Woody : Eh une petite minute ! Moi je trouve qu’un jouet c’est beaucoup plus qu’un ranger de l’espace.
Buzz : Tu parles…
Woody : Non c’est vrai ! Ecoute, en face il y a un enfant qui trouve que tu es le meilleur ! Et pas parce que tu es un ranger de l’espace, mais parce que tu es un jouet ! Tu es son jouet !
Buzz : Mais pourquoi Andy aurait-il besoin de moi ?
Woody : Pourquoi Andy aurait-il besoin de toi ? Mais réfléchis une seconde ! Tu es un Buzz l’Eclair ! N’importe quel jouet vendrait ses pièces détachés pour être toi. Tu as des ailes, tu brilles dans le noir, tu parles ! Ton casque fait ce truc insensé… wouch crack ! Tu es vraiment super comme jouet ! Je dirais même qu’en fait t’es trop super… C’est vrai…Dis moi ce qui reste à un jouet comme moi face à un Buzz l’Eclair supermégatronique…Tout ce que je sais faire c’est « Il y a un serpent dans ma botte ! » Pourquoi veux-tu qu’Andy joue avec moi, alors qu’il a quelqu’un comme toi…C’est moi qui devrait être ligoté à cette fusée…
Woody [corde vocale] : Cette ville est trop p’tite pour nous deux.
Sid : Il est pété ce jouet.
Woody [corde vocale] : Tu crois vraiment que j’suis pété petit ? Oui mon gars, c’est à toi que j’madresse Sid ! Nous n’aimons pas être pulvérisés Sid Phillips. Ou écrabouillé ou écartelé.
Sid : Qui ? Les jouets ?
Woody [corde vocale] : Absolument, tes jouets ! À partir de maintenant tu devras prendre soin de tes jouets… parce que sinon… Nous le saurons Sid ! Nous les jouets… nous voyons tout.
Woody : Alors pas de violence !
Buzz : Prochain arrêt : Andy !
Woody : Hey une petite minute. J’ai allumé une fusée… Les fusées ça explosent !
Woody : Hey Buzz ! Tu voles !
Buzz : J’appelle pas ça voler, j’appelle ça tomber avec panache !
Sergent : Le premier cadeau de Molly est…une madame Patate ! Je répète, une madame Patate !
Bayonne : Joyeux Noël à la patate nouvelle.
Monsieur Patate : Il faut que je sois rasé de frais !
Woody : Buzz…Buzz l’Eclair ! Ne me dis pas que tu te fais du mauvais sang ?
Buzz : Non, non, non non non non.
Sergent : C’est une grande boîte, c’est…
Buzz : Et toi ?
Woody : Oh non, voyons ! Après tout, qu’est-ce qu’Andy pourrait bien recevoir de pire que notre Buzz ?
Andy : Qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce que c’est ? Oh un p’tit chien !