Découvrez en illustrations les répliques les plus marquantes et les plus touchantes du film Le Voyage d’Arlo.
Achats.
Henry : Le dernier sera un gros costaud, comme son papa. Bonjour… Arlo.
Ida : Tu as apposé ton empreinte au-dessus de la mienne ?
Henry : Quoi ? Non. Ce n’est qu’une question d’angle de vue.
Ida : L’angle de vue, c’est ça.
Henry : Une empreinte ça se mérite en accomplissant quelque chose de grand. De grand et pour le bien de tous. Un jour vous laisserez tous votre empreinte et j’ai vraiment hâte de voir ça.
Arlo : Je ne suis pas un lâche ! Un jour, je laisserai mon empreinte ! Comme toi, comme Libby et comme tout le monde !
Ida : Bien sûr chéri, tu as juste besoin d’un peu de temps.
Arlo : J’en veux pas, j’en veux pas de cette empreinte de toute façon.
Henry : Il faut parfois savoir surmonter ses peurs pour découvrir toute la beauté du monde mon garçon.
Henry : Je voudrais que tu parviennes à surmonter tes peurs, je sais que tu en es capable.
Arlo : Mais je ne suis pas comme toi.
Henry : Tu es moi, en mieux.
Arlo : Tant que tu ne t’éloignes pas de la rivière, tu peux retrouver la maison.
Arlo : J’ai toujours l’intention de te tordre le cou mais avant ça, tu peux m’en trouver d’autres ?
Le Collectionneur : Nous avons tout vu. Nous pensions que tu allais mourir, mais tu n’es pas mort. Cette créature t’a protégé. Pourquoi ?
Arlo : Je sais pas. Je veux rentrer chez moi. Vous savez où se trouve le Mont Trident ?
Le Collectionneur : C’est une bonne idée, on veut l’animal !
Arlo : Euh pourquoi ?
Le Collectionneur : Parce qu’on vit dans un monde terrifiant, il pourrait me protéger. Comme mes amis. Voici Fiori, qui me protège des créatures qui rampent dans la nuit. Lui c’est Destructor, il me protège des moustiques. Voici Briseur de Rêves, il me protège de mes ambitions irréalistes. Et voici Debbie, oui… on a besoin de lui. Dis moi quel est son nom ?
Arlo : Son nom ? Je ne sais pas.
Le Collectionneur : Je vais méditer sur le sujet. Je trouve son nom, je le garde. Terreur ! Misère ! météorite !
Arlo : Mocheté !
Le Collectionneur : Croque-mitaine !
Arlo : Cradoc !
Le Collectionneur : Psychopathe !
Arlo : Crasouille !
Le Collectionneur : Astéroïde !
Arlo : Crapaud !
Le Collectionneur : Microbe !
Arlo : Pouilleux !
Le Collectionneur : Michel !
Arlo : Raymon !
Le Collectionneur : Barbare !
Arlo : Spot !
Arlo : Il me manque, ma famille me manque. La famille… Là c’est moi, ça c’est Libby et Buck, Maman et Papa. Une famille. Tu peux pas comprendre… c’est pas grave. Oui ! Toi aussi tu as une famille ! Il me manque…
Coup de Tonnerre : La tempête pourvoit à tous nos besoins.
Coup de Tonnerre : J’ai vu l’œil du cyclone, le cœur de la tempête ! J’ai oublié ce qu’était la peur.
Ramsey : Mon génie de frère a perdu tout notre troupeau en une journée.
Nash : Je n’ai pas perdu le troupeau Ramsey ! Combien de fois faudra te le dire ? Il s’est éparpillé !
Butch : J’ai une mission pour toi.
Arlo : J’ai jamais été très doué pour les missions.
Butch : Tu fonces à couvert jusqu’au poste avancé à 12h au milieu de la zone de conflit. Là tu prends position. C’est en donnant le coup de clairon que tu vas débusquer l’ennemi. Après on déboule, on les déplume, on les désosse.
Arlo : Quoi ?
Ramsey : Il te demande de monter sur le rocher et de crier de toutes tes forces !
Arlo : Mais y a quoi là-bas ?
Butch : Ils vont venir à toi, reste sur tes gardes, ne bouge pas.
Arlo : Je ne bouge pas ? Mais s’ils ont des griffes et des grosses dents ?
Butch : Tu poses trop de questions.
Pervis : Oh zut ! J’y tenais vraiment à cette dent !
Arlo : Vous auriez adoré mon papa, il n’avait jamais peur de rien. J’en ai assez d’avoir peur.
Butch : Qui a dit que j’avais pas peur ?
Arlo : Mais vous avez affronté des crocodiles !
Butch : Oui mais j’étais terrorisé. C’est normal d’avoir peur quand un crocodile nous saute au visage, ça prouve qu’on est vivant. Écoute petit, on se débarrasse pas de la peur. C’est comme la nature, on ne peut ni la dompter ni la vaincre, mais on peut accepter ses épreuves et à apprendre à mieux se connaître soi-même.
Arlo : J’ai peur… mais Spot a besoin de moi. Je lui en ai voulu pour ce qu’il t’est arrivé mais ce n’était pas sa faute. Je dois retourner l’aider maintenant parce que c’est mon ami.
Henry : Je savais que tu en étais capable. Tu es moi, en mieux. Va porter secours à ce petit animal.